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L'Open Garden de Thomas Allemand (Jellyfish)

Thomas Allemand est VP adtech et innovation de Jellyfish. Il nous partage son Open Garden.

Mon Open Garden est un lieu de régénération de l’innovation, au service de l’efficacité de l’ensemble de l'écosystème du marketing digital.

Tout au long des 13 années que j’ai passées dans cet écosystème - notamment dans sa composante programmatique - j’ai vu la formidable capacité de l’Open Garden à sécréter des innovations bouleversant le statu quo. Ce qui a permis de répondre plus efficacement aux besoins des parties prenantes du marché : éditeurs, annonceurs et agences qui les accompagnent.

A l’heure où les cycles d’innovation se raccourcissent et s'accélèrent à un rythme inédit - ce qui engendre des potentiels de disruption majeurs - la vitalité de l’Open Garden est plus que jamais critique. Ses promesses d’ouverture, de décentralisation et d’interopérabilité en font un facilitateur de souveraineté digitale. C’est un outil pour permettre aux marques de garder un contrôle indépendant car transparent sur leurs stratégies, leurs données et leurs investissements.

Pourtant cet Open Garden a les défauts de ses qualités. L’exubérance entrepreneuriale qui le caractérise le rend parfois illisible. Sa diversité amène à une complexité bien souvent ésotérique pour nombre de directions média ou marketing chez les annonceurs que nous accompagnons chez Jellyfish. C’est également sans compter que tous les Open Garden ne se valent pas. il faut ainsi bien savoir lire entre les lignes pour discriminer les propositions de valeur en dépassant les discours commerciaux. C’est d’ailleurs le sens de notre accompagnement chez Jellyfish : faire bénéficier aux annonceurs du meilleur de l’Open Garden pour répondre de manière pertinente et pérenne à leurs problématiques marketing et commerciales.

Bouleversements induits par la révolution IA - générative ou non, média offline qui deviennent petit à petit data-driven et automatisés comme l’ensemble du marketing digital, maturité croissante du retail media au fur et à mesure que les investissements y deviennent massifs, nécessaire adaptation du digital aux régulations, évolutions technologiques et enjeux environnementaux… Les sujets où l’Open Garden peut apporter de la valeur en addition des plateformes sont légions.

Pour aider à la réalisation de cette promesse, nous avons besoin de toujours plus d’intelligence collective pour décrypter l’écosystème tout en le rendant accessible. Nul doute que la newsletter Open Garden en sera un contributeur éminent !